Laurent Grappe s’intéresse à la restitution de portraits sociaux contre toute assignation, défiant les catégories d’identifications, d’appartenances et de classifications.
D’abord à travers des œuvres sonores (Le luxe de la réflexion 1995, Appartenances 2000, Ecrivains Publics Sonores 2001, Plaire 2008, Christophe où es-tu? 2013, Eléments, sur un poème de René Char, 2013…),
La mise en relation la construction sonore et la construction plastique, inaugurée avec le dispositif “entreprises”, réalisé pour la Diagonale de Tchernobyl (Brut de béton, 2006), s’impose de plus en plus comme une nécessité et vient à organiser le travail du son lui-même. L’imbrication du son dans la forme concrète le donne à voir autant qu’à entendre. Ainsi le son des vivants devient le sens même d’un récit politique à la fois matériel et transcendant.
Sa chaine youtube : https://www.youtube.com/channel/UCN7CGDAM-80_McRjjcf6Fsw
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