Actu/ agenda : Jeudi 13 avril à 13h30, tou(te)s à la 4ème Cour Correctionnelle d’Appel pour soutenir Sophie Perrin !!!

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Sophie Perrin (membre du collectif) a été interdite de présence sur le campus universitaire Lyon2 pendant plus de 2 ans et demi et a été accusée de tous les maux de la Terre : instabilité psychiatrique qui justifiera l’internement de Sophie pendant 3 jours à Vinatier, harcèlement et violences auprès des représentants du labo d’anthropologie, diffamation et envoi de mails intempestifs, etc… 

Le début de l’affaire remonte à 2010, lorsque Sophie a voulu se défendre après avoir été injustement exclu du concours qui lui aurait permis d’obtenir une allocation doctorale pour continuer son travail de recherche anthropologique « L’inceste : consistance du silence« . Travail qui avait pourtant obtenu une note de 18/20, ainsi qu’une mention « très bien » pour l’ensemble du master 2 recherche.

Elle subit, depuis maintenant presque 7 ans, la rengaine de ses anciens professeurs qui n’hésitent pas à utiliser la machine infernale administrative et pénale pour tenter de l’ÉCRASER moralement et financièrement.

Or, de procédures en procédures, la justice constate de nombreuses incohérences entre les accusations du service juridique de Lyon2 et les faits réels…. les violences physiques s’avèrent être quelques noms d’oiseaux lancés (reconnaissons-le, nous l’aurions tous fait) suite à des provocations de la présidence et des professeurs envers Sophie. A contrario, Sophie a été gentiment molestée par les agents de sécurité de la Fac. Les factures de téléphone de certains professeurs qui l’accusent de harcèlement téléphonique à outrance sont absentes du dossier. Le jugement ne repose que sur leur parole, jugée plus crédible que celle de Sophie… or, les attestations produites s’avèrent justement ne pas concorder, voire être parfois mensongères.

Ce sont pourtant toutes ces procédures juridiques qui ont permis à la Fac d’interdire Sophie de présence sur le campus durant 2 ans et demi et l’empêche encore aujourd’hui d’avancer dans sa recherche anthropologique. Il est toujours bien de rappeler que toutes ces procédures engendrées par l’Université ont été financées avec de l’argent public : à la hauteur de 4 000€ de frais d’avocat lors de la première affaire et à peu près 5 500€ pour celle qui est en cours (dont risque de s’ajouter de nouveaux frais d’avocat)…

En novembre dernier, Sophie a été condamnée à payer un euro symbolique à ses inquisiteurs (au lieu des 2000€ demandés par tête de pipe). Elle a été par ailleurs entièrement relaxée pour les diffamations dont elle a été accusée (et Toc !).

L’Université a décidé de faire appel suite à cette dernière décision de justice, mais petit grain sable dans les rouages, Sophie aussi !!! Elle se bat aujourd’hui afin que ces condamnations, pour une grande partie annulées par la justice, ne soient pas inscrites dans le fichier B2 de son casier judiciaire…

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Sacha

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Face à cette INJUSTICE et pour prouver notre solidarité, venez nombreux(ses) la soutenir

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Jeudi 13 avril à 13h30 à la 4ème Cour Correctionnelle d’Appel

1 Rue du Palais de Justice, 69005 Lyon

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Plus d’infos sur : http://crea-tifs.blogspot.fr

Et si vous voulez la soutenir financièrement :

https://www.leetchi.com/c/solidarite-de-sophie-lumiere-lyon2

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